Saturday, 3 November 2012

L'instruction en famille, en Australie et en France


En Australie et en France, l’instruction en famille est légale.  Dans les deux pays il y a l’éducation obligatoire pour enfants qui ont l’âge d’aller à l’école, donc il faut que l’élève s’inscrive avec le gouvernement pour avoir accès à l’instruction à la maison.  En Australie, il y a des inquiétudes que beaucoup de parents n’inscrivent pas leurs enfants pour l’instruction en famille, parce qu’ils ont peur d’ingérence de la part du gouvernement.  En France, l’éducation en générale est plus centralisée qu’en Australie.  Il est souvent nécessaire de suivre le même programme à la maison que les enfants à l’école font.  Il y a souvent beaucoup d’ingérence du gouvernement, comme les inspections tous les deux ou trois années. 
Les élèves et leurs parents choisissent l’instruction à la maison pour les raisons différentes.  Quelquefois c’est parce qu’ils ne sont pas heureux avec la qualité d’éducation à école ou ils veulent une éducation plus individuelle.  Il y a aussi d’autres formes d’éducation alternative comme le programme d’AYCE.  AYCE est un programme australien dans la Victoria qui laisse les enfants venir à l’école une fois par semaine.  Ce programme est une façon pour les élèves qui font l’instruction en famille d’obtenir les résultats de la fin du lycée dont ils ont besoin pour entrer à l’université. 

Est-ce que l’instruction en famille produit les enfants timides ?

En Australie, l’instruction à la maison n’est pas un choix très commun.  Beaucoup s’inquiètent que le résultat d’une éducation en famille est un enfant asocial qui a du retard académiquement.  C’est difficile d’entrer à l’université.  C’est vrai que l’instruction à la maison a des inconvénients et ce n’est pas facile de réussir, mais ce n’est pas impossible. 
Les problèmes présumés de l’instruction en famille peuvent être évités ou au moins diminués.  Il y a des façons d’aller à l’université sans aller à l’école normale avant, par exemple, le programme d’AYCE.  Il est possible de faire beaucoup d’activités, comme faire du sport, participer aux classes d’art, de la musique ou de la danse, ou aller à l’église, ce qui permettent aux élèves de rencontrer d’autres enfants, et des gens de tous âges aussi.  Il y a aussi des groupes spéciaux pour les enfants qui font l’instruction à la maison.  Ces groupes organisent des activités sociales, même des scouts et des bals de la fin d’année.  L’école n’est pas la seule façon de socialiser un enfant. 
Faire l’instruction en famille exige qu’au moins un des parents soit disponible pour instruire leurs enfants, donc ce n’est pas une option possible dans toutes les familles.  Mais si les parents peuvent être enseignants pour leurs enfants, ils ont l’occasion d’être même plus proche de leurs enfants.  L’éducation en famille à laisse l’enfant la possibilité d’avoir une éducation plus personnalisée.  Les parents peuvent souvent adapter le programme à leurs enfants, ils ne sont pas comme le prof d'une classe de 25 enfants qui enseigne un programme homogénéisé pour tout le monde.  Les enfants peuvent énormément bénéficier de cette attention, académiquement et personnellement. 
Pour quelques enfants et leurs familles, l’instruction à la maison et la seule possibilité.  Si la famille habite dans une région isolée, l’instruction à la maison peut être une alternative au pensionnat ou un long trajet à l’école.  Quelquefois l’étudiant ne peut pas aller régulièrement à l’école pour des raisons : tel que la famille voyage ou l’enfant est un athlète d’élite ou travaille en monde du spectacle. 
L’instruction en famille n’est pas sans problèmes, mais il n’y a pas vraiment de méthode pour élever et éduquer un enfant équilibré, brillant et heureux qui est simple.  Les inconvénients de l’instruction en famille peuvent être évités autant que l’on peut éviter les inconvénients de l’école normale.  En fait, c’est peut-être plus facile d’éviter les problèmes de l’instruction en famille, parce que les enfants et leurs parents ont plus de contrôle et de pouvoir pour s’en occuper.  L’instruction à la maison n’est pas le meilleur choix pour tous les enfants et leurs familles, mais pour quelques-uns c’est idéal.

J’ai interviewé une étudiante de nanotechnologie à l’université de La Trobe qui a fait l’instruction à la maison et qui a participé au programme d’AYCE pour avoir ses avis sur l’éducation. 

Pourquoi vous avez décidé de faire l’instruction à la maison ?
Je suis toujours très académique et j’apprends rapidement, je me suis ennuyée en école primaire.  Mes parents ont décidé que je ferais l’instruction à la maison pour une période de six mois pendant l’année cinq.  Apres, j’ai fait le programme d’AYCE pendant l’année sept.  Mon frère avait fait le programme quelques années avant, et ma famille savait que c’était le programme idéal pour moi.  Je pouvais apprendre rapidement, j’avais le temps à poursuivre d’autres intérêts, par exemple l’art et la musique, et à lire beaucoup de livres et apprendre compétences personnelles essentielles.  Apres, j’ai  fait l’instruction à la maison pendant l’année huit and l’année neuf, parce que c’était trop difficile d’aller à l’école. 
A votre avis, quels sont les avantages et les désavantages de l’instruction à la maison comparée à l’école?
Les avantages sont que je pouvais apprendre à mon propre rythme et il est possible de faire beaucoup d’activités extrascolaire.  Je devais avoir autodiscipline et j’ai appris d’être très motivée.  On passe moins du temps faire la navette, donc on a plus du temps pour apprendre et lire les livres.  Il y avait plus d’occasions où je pouvais rencontrer de gens de tous âges.  Les désavantages sont qu’un enfant qui fait l’instruction à la maison n’a pas aussi d’occasions de rencontrer d’autres enfants qui ont le même âge que lui qu’un enfant qui va à l’école et on peut s’ennuyer de rester à la maison.  Il est possible d’éviter les matières que l’on n’aime pas.   
Comment est-ce que vous et vos parents structuraient les jours et le programme?
Ce n’était pas aussi structuré que l’école traditionnelle.  Je me levais et commençais « l’école » à environ neuf ou dix heures.  Je déjeunais et faisais des pauses quand j’ai leur besoin.  Je travaillais sur la même matière pendant une longue période, donc je pouvais apprendre plus intensivement.  Chaque trimestre scolaire, nous choisissions les livres et nous planifiions mes buts.  Ces buts étaient toujours réalisables et en accord avec le programme traditionnel au même niveau, ou un niveau supérieur.   
Est-ce que vous étudiiez seule, ou est-ce vous étudiiez avec d’autres élèves ?  Est-ce que vos parents s’impliquaient beaucoup?
La plupart du temps, j’étudiais seule chez moi.  Quelquefois, je restais avec mes camarades de classe et nous étudiions ensemble.  Mes parents m’aidaient quand j’ai eu des difficultés, mais normalement je pouvais résoudre les problèmes seule, ou je téléphonais à mes camarades de classe et nous les solutionnions ensemble.   
Comment est la vie sociale pour un élève qui fait l’instruction à la maison ?
Ça dépend vraiment.  J’étais introvertie, donc j’étais content de rester chez moi et lire les livres.  Je rencontrais mes amis deux ou trois fois par semaine.  J’allais aux classes d’art et je faisais du roller, donc il y avait d’autres occasions de rencontrer des gens.  J’ai des amis qui passaient beaucoup du temps sur rencontrer des gens – par exemple il y avait beaucoup d’autres familles et groupes pour les élèves qui font l’instruction en famille près de chez eux, donc c’était très facile de se rassembler et étudier ou jouer ensemble. Aussi, la vie sociale dépendait du transport – pendant quelques années ma mère étudiait, d’où c’était difficile d’aller au loin aux groupes pour élèves qui font l’instruction en famille. 
Comment étaient vos expériences du programme d’AYCE ?
Je m’amusais beaucoup et j’ai beaucoup de bonnes mémoires du programme d’AYCE.  Le programme m’a donné l’occasion d’avoir beaucoup plus de liberté dans mes études, et j’estime que j’ai appris beaucoup parce que je pouvais apprendre dans une méthode qui me convenait.  
Croyez-vous que ce programme et l’instruction en famille prépare les élèves pour la vie après l’école?  Comment vous avez trouvez la transition d’école à université ?
Il y a certainement la possibilité de préparer très bien pour la vie après l’école, si les élèves décident de saisir l’occasion.  J’ai appris d’avoir autodiscipline, comment être assurée et faire preuve d’initiative, et comment j’aime apprendre.  J’ai appris comment me comporter et communiquer, parce que je fréquentais personnes de tous âges.  Ce type d’expérience est de grande valeur dans le lieu de travail et pendant la transition d’école à université.  J’ai trouvé la transition d’être très facile, parce que j’ai déjà eu l’habitude de faire les devoirs et la recherche seule, sans aide.  Je pouvais me fixer un but et l’atteindre.  J’avais l’assurance en ma capacité de communiquer avec mes enseignants quand j’ai eu des problèmes.   
Parlez-moi au sujet de votre programme d’échange en Angleterre, comment est la vie universitaire différente là?  Quelles sont les différences culturelles dans les universités anglaises ?
Mon programme d’échange était une expérience très élargie.  J’ai eu l’expérience d’apprendre dans un environnement très différent et c’était une méthode très différente aussi.  Les universités anglaises sont très protocolaires, et j’ai trouvé qu’ils demandent que les étudiants puissent apprendre beaucoup des manuels.  Je préfère apprendre les concepts en cours magistraux et puis les appliquer en pratique, donc c’était un challenge pour moi.  La vie universitaire était différente aussi, parce que tous les étudiants habitent à proximité, la vie sociale animée a dominé. 
 

Friday, 19 October 2012

La Solution Pacifique


Avec l'augmentation du nombre de demandeurs d'asile qui sont arrivés en Australie, particulièrement après L’affaire Tampa, le gouvernement Howard a exécuté la Solution Pacifique en 2001 (jusqu'à l’année 2008). Cette solution a l’objectif de diminuer les demandeurs d'asile qui voyagent par la mer pour rejoindre l’Australie sans l'autorisation du gouvernement australien.


Le gouvernement a limité la zone de migration où les demandeurs d'asile pouvaient atterrir et être traitées. Les demandeurs d'asile ont été transportés dans des centres de détention sur les îles de l'océan Pacifique comme Nauru et Manus, ils n’ont pas été permis de débarquer au continent australien. Les demandeurs d'asile savaient que c'était plus difficile d’avoir une revendication légitime d'asile en Australie donc ils ont été découragés de faire un voyage dangereux.


Les arrivées « des gens de bateau » ont été réduites pendant la période de Solution Pacifique. Le plus grand nombre de demandeurs d'asile est arrivé entre l’année 2001 et 2003, avec un total de 1544 personnes. Cependant, depuis l’abolition de cette stratégie par le gouvernement Rudd en 2008, il y a eu une forte augmentation des arrivées, avec plus de 2700 gens dans l’année 2009 seulement.



Le nombre de réfugiés authentiques qui ont participés dans le processus de Solution Pacifique était moins que les gens qui ont cherché d'asiles. La plupart des réfugiés sont venus d’Afghanistan et d’Iraq, ils ont échappés à la guerre. Environ 40% des demandeurs d'asile ont été réinstallés en Australie vers la Solution Pacifique, les autres sont envoyés aux d’autre pays, ne satisfaisant pas à la définition d'un réfugié, ou ils sont retournés volontairement dans leur pays à cause de la détention indéterminée sur les îles.


Récemment, après l'échec de la Solution Malaisienne, le gouvernement Gillard a réintroduit la Solution Pacifique et il vient de rouvrir les centres de détention aux îles de Nauru et Manus. Cette réintroduction répond aux préoccupations du public sur l’augmentation des demandeurs d’asile qui risquent leurs vies en voyagent ainsi que pour la sécurité de l’Australie. Le projet de loi a été adoptée le 16 août 2012 et spécifie que les demandeurs d'asile qui arrivent en Australie doivent être transférés aux îles du Pacifique pendant que leurs statuts de réfugié sont traités pendant une durée indéterminée.



Le gouvernement Gillard a l’intention de placer touts les demandeurs d’asile dans les centres aux îles de Nauru et Manus, sans exceptions. Ce qui inclut des femmes, des enfants et des mineurs non accompagnés. Dans le passé, des passeurs ont exploité les exonérations du gouvernement qui a permis aux enfants d’arriver sur le continent australien. Ils ont envoyés des bateaux avec plusieurs enfants qui ont été utilisés comme des « ancres » pour faire venir leurs familles.

Le centre detention à Nauru

Le centre detention à Manus

Toutefois, l'opposition du gouvernement prédit que la Solution Pacifique échouera parce que le parti travailliste ne réintroduit pas les visas de protection temporaire et il n’accorde pas le pouvoir à la Marine de revenir les bateaux. Le mois dernier, 31 bateaux sont arrivés et qui ont transporté 2034 demandeurs d'asile, ce qui constitue le plus grand nombre d’arrivées en un mois. Quelques commentateurs ont déclaré que la Solution Pacifique par le gouvernement Gillard envoyait un message faible parce qu’il fait l'erreur de permettre aux demandeurs d'asile d’arriver à l'île Christmas avant d'être transportés à Nauru. De cette façon, ils n’étaient pas exclus de recours par les tribunaux.


Le gouvernement Gillard nous a assuré que les demandeurs d'asile à Nauru pourraient apprendre l'anglais, aller à l'école, développer des compétences et recevoir des conseils pour faire une meilleure transition quand ils travailleront en Australie. Cependant, les défenseurs des réfugiés ne sont pas satisfaits parce qu’il y a eu des mauvais traitements précédents et des mauvaises conditions de vie dans les centres de détention. "C'est une proposition qui enlève des droits de l'homme, une proposition que John Howard a avancé, et qu’on n’en a pas été voté en 2007", le chef du parti Vert a dit.




Jusqu'à présent, la stratégie a suscité beaucoup de critiques par les partisans du parti libéral ainsi que les défenseurs des réfugiés. En ce qui concerne cette stratégie, Julia Gillard a répondu que c'était dur, mais rationnelle. "Ce qui le plus difficile de regarder les gens se noyer".  Seul le temps nous dira si cette solution va fonctionner.

Monday, 8 October 2012

Une comparaison des deux systèmes


Charlie et La Chocolaterie – Une critique de film


par Sally Wenas


La nouvelle version du film a été créé par Tim Burton dans son style caractéristique; sombre et bizarre, mais avec un style d’image presque répétitif.  Parce que je suis une fan de Burton, j’admire vraiment sa capacité à créer une atmosphère brillante et un sentiment d’évasion pour le spectateur, mais si l’on considère les films précédents qui ont été dirigés par Burton et son approche fantaisiste, ce film n’impressionne pas.  ­­




Le film original s’intitulait ‘Willy Wonka et La Chocolaterie’ comme le livre qui a été écrit par Roald Dahl en 1964, et le film était unique même pour son temps (les années 1970’s).  Il montrait des costumes impressionnants et des effets spéciaux. Par ailleurs, la scénographie était surréaliste, d’imagination et de charme.  Ce film a souligné la satire sociale, la gourmandise et l’égoïsme des riches enfants et leurs parents formidables.  La nouvelle version du film encourage les fans et les spectateurs à réfléchir plus sur le film original.

Chaque film doit se démarquer sur son propre mérite, mais l’interprétation de Burton est décevante.  On voit Johnny Depp jouant le rôle de Willy Wonka et son personnage domine les personnages autres (en particulier, les cinq personnages enfants).  Bien sûr plus l’accent sur Charlie (le protagoniste) était nécessaire pour explorer les autres thèmes et motifs tels que ce qui est vertueux dans la vie de quelqu’un qui est moins chanceux financièrement que d’autres ; il était un enfant aimable et respectueux et il avait une force intérieure et la bravoure qui n’a pas été transmise fortement dans ce film.

La nouvelle version est bien juste pour le divertissement et est adapté pour tous les âges, mais il manque l’humour subtil et le sarcasme de Depp n’est pas satirique.  Le film original était politiquement choquant (par exemple, la représentation apparemment raciste de ‘Oompa-Loompa’) et peut même être effrayant pour les plus jeunes.  À mon avis, le film original était encore plus remarquable et intéressant que la nouvelle version.  


LES REFUGIES: UN VRAI HISTOIRE


Jacinta Newbold

Bien que il y ait une controverse entourant le sujet de réfugiés en Australie, nous avons beaucoup de réfugiés qui habitent dans la communauté de Melbourne aujourd’hui.

Selon la recherche effectuée par ‘Foundation House’ dans le Victoria, environ 3,5000 de réfugiés arrivent à victoria chaque année. De ce nombre-là, 10 pourcentage habite dans la campagne et le reste ailleurs. Les populations des réfugiés qui habitent dans la campagne croissent de plus en plus .

Grace au battage médiatique, c’est facile d’oublier qu’il y a des personnes réelles derrière les statistiques. Ces gens ont souvent des histoires ce qui sont tristes et excitants au même temps.


Yves à son pays d'origine
Yves, par exemple, est un réfugié de la République Démocratique de Congo. Yves, comme beaucoup de gens de son pays, était dans ses propres mots; ‘une victime de la mauvaise politique et le tribalisme dans un pays où il n’y a pas de respect de la vie humaine, de la liberté d’expression, la justice sociale et la démocratie’.



De mai 2000 à 2009, Yves n’avait guère d’espoir. Après que ses parents aient été assassinés, Yves a été forcé de fuir sa ville avec ses soeurs dans la crainte du même sort. Ils ont trouvé un refuge dans une autre ville, mais la tragédie était toujours presque à sa famille; ses soeurs ont été assassiné par des rebelles aussi. Le prêtre local a aidé Yves à échapper de leur maison et les rebelles qui ont voulu le attraper.



Il a resté avec son grand-père pour quelques temps avant il a décidé de partir de la ville où ce n'était pas sans danger. Finalement, Yves a atteint un camp des réfugiés s’est apelé ‘Kakuma’. Bien que les réfugiés aient eu des auberges, leurs vies sont restées misérables; ‘Les gens en Kakuma sont en sécurité pendant le jour, mais au soir la crainte commence...’ Yves a dit.

En 2009, Yves a reçu un email d’un groupe qui s’appelle ‘Sanctuary’. Le groupe allait parrainer  Yves et sa nouvelle femme Eduige et leur porte à victoria. Finalement, une lumière au bout du tunnel.



Aujourd’hui, Yves habite à Wodonga. Quand il est arrivé ici, il ne lisait pas, donc il est dans un cours d’anglais au collège de la communauté. Il a etudié des course à Tafe et maintenant, Yves prépare étudier le travail social à l’université de Latrobe.

Yves décrit l'Australie comme ‘un lieu de paix ...Tout le monde nous a aidé à commencer notre nouvelle vie’.

Quelquefois, c’est important d’entendre des histoires des réfugiés que nous regardons sur notre télévisions au soir. Si nous pouvons changer les vies de plus gens comme Yves et sa femme, peut-être ca vaut la peine de la controverse. 




Les Types des Ecoles Différentes



Il y a des systèmes d’éducation différentes. Voici un interview avec Mia, une étudiante australienne qui a éprouvé plusieurs écoles en France et Australie. Elle a commencé dans le système Steiner en Australie mais en année huit elle est allée à une école qui est part de l’éducation  étatique- l’enseignement normale en Australie. En année neuf, elle est restée 6 mois à Strasbourg dans une école Steiner-Waldorf, et retourné en France l’année d’âpres pour un deuxième échange. Elle nous parle des différences à l’école : les profs, le travail, et la vie sociale.

Sophia Mundi Rudolph Steiner School, Melbourne :
« C’était mon école préférée. J’aime la méthode d’enseigner les élèves. Les écoles Steiner ont un système d’éducation alternatif dans lequel on n’apprend pas seulement les matières typiques mais aussi l’Histoire de tout le monde en plus de détail, la musique, et les arts. Les profs sont plus familiers, on utilise leurs prénoms et le travail est plus intéressant. »

McKinnon Secondary College, Melbourne :
« Mon ancienne école me manque parce que je trouve ce système un peu ennuyeux. Les profs sont plus stricts et nous devons travailler sur certains sujets- nous ne pouvons pas être créatif. Je deteste le fait que nous devons poter une uniforme. Mais je pense qu’en Australie il y a plus d’opportunités d’essayer des choses différentes. Ici, je peux étudier une gamme de matières mais en France on doit choisir une spécialité. »

Ecole Saint-Michel, Strasbourg : « J’étais surprise parce qu’avant de partir j’ai entendu dire que l’école en France est plus difficile, avec des journées longues et de profs sévères. Dans cette école, les élèves et les enseignants étaient plus détendus, encore plus que celles en Australie. La vie sociale était très différente aussi. Les étudiants sortent presque chaque nuit, quelquefois à la ville mais normalement chez leurs amis. Ils font moins de devoirs et préfèrent faire la fête !» 

La Centre International de Valbonne : « Cette école était plus comme mes amis m’avaient dit des écoles en France. Les profs sont plus strictes; ceux en Australie sont plus sympa et veulent s’entendre avec les élèves. Nous devions faire plus de travail et je l’ai trouvé difficile. A mon avis, c’est important d’avoir des profs qui vous font travailler ; mais peut être  en France ce serait meilleur si les étudiants pouvaient reposer plus souvent. » 

Les réfugiés - L’opinion publique


Courtney Taylor


Les réfugiés  sont très communs dans un pays multiculturel comme l’Australie. Cependant il est difficile à deviner l’opinion publique et donc, j’ai les questions suivantes: 

Une protestation: Des participants
 soutiennent les réfugiés

-Pensez-vous que l’Australie devrait accepter davantage de réfugiés ? (Oui- 50%, Non- 50%)

-Croyez-vous que les réfugiés sont bien acceptés par le public ? (Oui- 44%, Non- 56%)


-Pensez-vous que le gouvernement ne fait pas assez pour aider les réfugiés ? (Oui- 56%, Non- 44%)




-Pensez-vous que les demandeurs d’asile qui arrivent en Australie sans papiers devraient avoir accordés le droit d’asile ? (Oui- 37,5%, Non- 62,5%)

- Croyez-vous que nos opinions sur les réfugiés sont déterminées par leur représentation dans les médias ? (Oui- 81%, Non- 19%)

Ils vivent dans la terreur: Des participants
 n’aiment pas les réfugiés


Les résultats ont été différenciés par l’âge et le sexe des personnes interviewées, et la plupart des réponses divisent le public. La moitié des gens auxquelles j’ai posé les questions ont dit ‘oui’, et l’autre ont dit ‘non’. Un participant a expliqué ses raisons avec la déclaration «Parce que les réfugiés ont besoin d’aide, et nous pouvons les aider… C’est bon pour l’humanité ». Tandis qu’une autre personne a dit « Nous ne pouvons pas gérer l’afflux actuel ».






Pour la question finale en ce qui concerne l’effet des médias sur nos opinions, tous les gens qui ne sont pas d’accord étaient des hommes, avec 81% des participants ont dit ‘Oui’. Une personne qui a répondu avec ‘oui’ a dit « En général, les news suggèrent que les réfugiés vont mal, donc le public pense que c’est vrai ». D’autre part, une personne qui ne pense pas que les médias influencent nos opinons a dit « Les médias informent le public avec les faits, c’est la responsabilité de chaque individu afin de créer leurs opinions sur le sujet ». Tous les gens entre 51 ans  et  60 ans ne pensent pas que les demandeurs d’asile qui arrivent en Australie devraient être d’accord le droit d’asile. Peut-être c’était  démontrer les idées et les opinons des personnes de cet âge en ce qui concerne les réfugiés.


Les résultats suggèrent qu’il existe une grande quantité d’opinions sur les réfugiés dans notre communauté, bien que tout le monde croit que c’est un problème qui doit être abordé.