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Wednesday, 24 October 2012
Friday, 19 October 2012
La Solution Pacifique
Avec l'augmentation du nombre de demandeurs
d'asile qui sont arrivés en Australie, particulièrement après L’affaire
Tampa, le gouvernement Howard a exécuté la Solution Pacifique en 2001 (jusqu'à
l’année 2008). Cette solution a l’objectif de diminuer les demandeurs d'asile
qui voyagent par la mer pour rejoindre l’Australie sans l'autorisation du
gouvernement australien.
Le gouvernement a limité la zone de migration où
les demandeurs d'asile pouvaient atterrir et être traitées. Les demandeurs d'asile ont
été transportés dans des centres de détention sur les îles de l'océan Pacifique
comme Nauru et Manus, ils n’ont pas été permis de débarquer au continent
australien. Les demandeurs d'asile savaient que c'était plus difficile d’avoir
une revendication légitime d'asile en Australie donc ils ont été découragés de
faire un voyage dangereux.
Les arrivées « des gens de bateau » ont
été réduites pendant la période de Solution Pacifique. Le plus grand nombre de
demandeurs d'asile est arrivé entre l’année 2001 et 2003, avec un total de 1544
personnes. Cependant, depuis l’abolition de cette stratégie par le gouvernement
Rudd en 2008, il y a eu une forte augmentation des arrivées, avec plus de 2700 gens
dans l’année 2009 seulement.
Le nombre de réfugiés authentiques qui ont
participés dans le processus de Solution Pacifique était moins que les gens qui
ont cherché d'asiles. La plupart des réfugiés sont venus d’Afghanistan et d’Iraq,
ils ont échappés à la guerre. Environ 40% des demandeurs d'asile ont été
réinstallés en Australie vers la Solution Pacifique, les autres sont envoyés
aux d’autre pays, ne satisfaisant pas à la définition d'un réfugié, ou ils sont
retournés volontairement dans leur pays à cause de la détention indéterminée sur
les îles.
Récemment, après l'échec de la Solution Malaisienne,
le gouvernement Gillard a réintroduit la Solution Pacifique et il vient de
rouvrir les centres de détention aux îles de Nauru et Manus. Cette
réintroduction répond aux préoccupations du public sur l’augmentation des
demandeurs d’asile qui risquent leurs vies en voyagent ainsi que pour la
sécurité de l’Australie. Le projet de loi a été adoptée le 16 août 2012 et spécifie
que les demandeurs d'asile qui arrivent en Australie doivent être transférés
aux îles du Pacifique pendant que leurs statuts de réfugié sont traités pendant
une durée indéterminée.
Le gouvernement Gillard a l’intention de placer
touts les demandeurs d’asile dans les centres aux îles de Nauru et Manus, sans
exceptions. Ce qui inclut des femmes, des enfants et des mineurs non
accompagnés. Dans le passé, des passeurs ont exploité les exonérations du
gouvernement qui a permis aux enfants d’arriver sur le continent australien. Ils
ont envoyés des bateaux avec plusieurs enfants qui ont été utilisés comme des «
ancres » pour faire venir leurs familles.
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| Le centre detention à Nauru |
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| Le centre detention à Manus |
Toutefois, l'opposition du gouvernement prédit que
la Solution Pacifique échouera parce que le parti travailliste ne réintroduit
pas les visas de protection temporaire et il n’accorde pas le pouvoir à la Marine
de revenir les bateaux. Le mois dernier, 31 bateaux sont arrivés et qui ont
transporté 2034 demandeurs d'asile, ce qui constitue le plus grand nombre d’arrivées
en un mois. Quelques commentateurs ont déclaré que la Solution Pacifique par le
gouvernement Gillard envoyait un message faible parce qu’il fait l'erreur de
permettre aux demandeurs d'asile d’arriver à l'île Christmas avant d'être
transportés à Nauru. De cette façon, ils n’étaient pas exclus de recours par
les tribunaux.
Le gouvernement Gillard nous a assuré que les
demandeurs d'asile à Nauru pourraient apprendre l'anglais, aller à l'école,
développer des compétences et recevoir des conseils pour faire une meilleure transition
quand ils travailleront en Australie. Cependant, les défenseurs des réfugiés ne
sont pas satisfaits parce qu’il y a eu des mauvais traitements précédents et des
mauvaises conditions de vie dans les centres de détention. "C'est une
proposition qui enlève des droits de l'homme, une proposition que John Howard a
avancé, et qu’on n’en a pas été voté en 2007", le chef du parti Vert a
dit.
Jusqu'à présent, la stratégie a suscité beaucoup
de critiques par les partisans du parti libéral ainsi que les défenseurs des
réfugiés. En ce qui concerne cette stratégie, Julia Gillard a répondu que c'était
dur, mais rationnelle. "Ce qui le plus difficile de regarder les gens se
noyer". Seul le temps nous
dira si cette solution va fonctionner.
Thursday, 18 October 2012
Monday, 8 October 2012
Charlie et La Chocolaterie – Une critique de film
par Sally Wenas
La nouvelle version du
film a été créé par Tim Burton dans son style caractéristique; sombre et
bizarre, mais avec un style d’image presque répétitif. Parce que je suis une fan de Burton,
j’admire vraiment sa capacité à créer une atmosphère brillante et un sentiment
d’évasion pour le spectateur, mais si l’on considère les films précédents qui
ont été dirigés par Burton et son approche fantaisiste, ce film n’impressionne
pas.
Le film original s’intitulait ‘Willy Wonka et La
Chocolaterie’ comme le livre qui a été écrit par Roald Dahl en 1964, et le film
était unique même pour son temps (les années 1970’s). Il montrait des costumes impressionnants et des effets
spéciaux. Par ailleurs, la scénographie était surréaliste, d’imagination et de
charme. Ce film a souligné la
satire sociale, la gourmandise et l’égoïsme des riches enfants
et leurs parents formidables. La
nouvelle version du film encourage les fans et les spectateurs à réfléchir plus
sur le film original.
Chaque film doit se démarquer sur son propre mérite, mais
l’interprétation de Burton est décevante.
On voit Johnny Depp jouant le rôle de Willy Wonka et son personnage domine
les personnages autres (en particulier, les cinq personnages enfants). Bien sûr plus l’accent sur Charlie (le
protagoniste) était nécessaire pour explorer les autres thèmes et motifs tels
que ce qui est vertueux dans la vie de quelqu’un qui est moins chanceux financièrement
que d’autres ; il était un enfant aimable et respectueux et il avait une
force intérieure et la bravoure qui n’a pas été transmise fortement dans ce
film.
La nouvelle version est bien juste pour le divertissement
et est adapté pour tous les âges, mais il manque l’humour subtil et le sarcasme
de Depp n’est pas satirique. Le
film original était politiquement choquant (par exemple, la représentation
apparemment raciste de ‘Oompa-Loompa’) et peut même être effrayant pour les
plus jeunes. À mon avis, le film original était encore plus
remarquable et intéressant que la nouvelle version.
LES REFUGIES: UN VRAI HISTOIRE
Jacinta
Newbold
Bien que il y ait une controverse
entourant le sujet de réfugiés en Australie, nous avons beaucoup de réfugiés
qui habitent dans la communauté de Melbourne aujourd’hui.
Selon la recherche effectuée par ‘Foundation
House’ dans le Victoria, environ 3,5000 de réfugiés arrivent à victoria chaque
année. De ce nombre-là, 10 pourcentage habite dans la campagne et le reste
ailleurs. Les populations des réfugiés qui habitent dans la campagne croissent
de plus en plus .
Grace au battage médiatique, c’est facile
d’oublier qu’il y a des personnes réelles derrière les statistiques. Ces gens
ont souvent des histoires ce qui sont tristes et excitants au même temps.
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| Yves à son pays d'origine |
Yves, par exemple, est un réfugié de la
République Démocratique de Congo. Yves, comme beaucoup de gens de son pays,
était dans ses propres mots; ‘une victime de la mauvaise politique et le
tribalisme dans un pays où il n’y a pas de respect de la vie humaine, de la
liberté d’expression, la justice sociale et la démocratie’.
De mai 2000 à 2009,
Yves n’avait guère d’espoir. Après que ses parents aient été assassinés, Yves a
été forcé de fuir sa ville avec ses soeurs dans la crainte du même sort.
Ils ont trouvé un refuge dans une autre ville, mais la tragédie était toujours
presque à sa famille; ses soeurs ont été assassiné par des rebelles aussi. Le
prêtre local a aidé Yves à échapper de leur maison et les rebelles qui ont
voulu le attraper.
Il a resté avec son
grand-père pour quelques temps avant il a décidé de partir de la ville où ce
n'était pas sans danger. Finalement, Yves a atteint un camp des réfugiés s’est
apelé ‘Kakuma’. Bien que les réfugiés aient eu des auberges, leurs vies sont
restées misérables; ‘Les gens en Kakuma sont en sécurité pendant le jour, mais
au soir la crainte commence...’ Yves a dit.
En 2009, Yves a reçu un
email d’un groupe qui s’appelle ‘Sanctuary’. Le groupe allait parrainer Yves et sa nouvelle femme Eduige et
leur porte à victoria. Finalement, une
lumière au bout du tunnel.
Aujourd’hui, Yves habite
à Wodonga. Quand il est arrivé ici, il ne lisait pas, donc il est dans un cours
d’anglais au collège de la communauté. Il a etudié des course à Tafe et
maintenant, Yves prépare étudier le travail social à l’université de Latrobe.
Yves décrit l'Australie
comme ‘un lieu de paix ...Tout le monde nous a aidé à commencer notre nouvelle
vie’.
Quelquefois, c’est
important d’entendre des histoires des réfugiés que nous regardons sur notre
télévisions au soir. Si nous pouvons changer les vies de plus gens comme Yves
et sa femme, peut-être ca vaut la peine de la controverse.
Les Types des Ecoles Différentes
Il y a des systèmes d’éducation différentes. Voici un interview
avec Mia, une étudiante australienne qui a éprouvé plusieurs écoles en France
et Australie. Elle a commencé dans le système Steiner en Australie mais en
année huit elle est allée à une école qui est part de l’éducation étatique- l’enseignement normale en Australie.
En année neuf, elle est restée 6 mois à Strasbourg dans une école
Steiner-Waldorf, et retourné en France l’année d’âpres pour un deuxième
échange. Elle nous parle des différences à l’école : les profs, le travail, et la vie sociale.
Sophia Mundi Rudolph Steiner School, Melbourne :
« C’était mon école préférée. J’aime la méthode d’enseigner les élèves. Les écoles Steiner ont un système d’éducation alternatif dans lequel on n’apprend pas seulement les matières typiques mais aussi l’Histoire de tout le monde en plus de détail, la musique, et les arts. Les profs sont plus familiers, on utilise leurs prénoms et le travail est plus intéressant. »
McKinnon Secondary College, Melbourne :
« Mon ancienne école me manque parce que je trouve ce système un peu ennuyeux. Les profs
sont plus stricts et nous devons travailler sur certains
sujets- nous ne pouvons pas être créatif. Je deteste le fait que nous devons poter une uniforme. Mais
je pense qu’en Australie il y a plus d’opportunités d’essayer des choses
différentes. Ici, je peux étudier une gamme de matières mais en France on doit
choisir une spécialité. »
Ecole Saint-Michel, Strasbourg : « J’étais surprise parce qu’avant de partir j’ai entendu dire que l’école en France est plus difficile, avec des journées longues et de profs sévères. Dans cette école, les élèves et les enseignants étaient plus détendus, encore plus que celles en Australie. La vie sociale était très différente aussi. Les étudiants sortent presque chaque nuit, quelquefois à la ville mais normalement chez leurs amis. Ils font moins de devoirs et préfèrent faire la fête !»
La Centre International de Valbonne : « Cette école était plus comme mes amis m’avaient dit des écoles en France. Les profs sont plus strictes; ceux en Australie sont plus sympa et veulent s’entendre avec les élèves. Nous devions faire plus de travail et je l’ai trouvé difficile. A mon avis, c’est important d’avoir des profs qui vous font travailler ; mais peut être en France ce serait meilleur si les étudiants pouvaient reposer plus souvent. »
Les réfugiés - L’opinion publique
Courtney Taylor
Les réfugiés sont très communs dans un pays multiculturel comme
l’Australie. Cependant il est difficile à deviner l’opinion publique et donc, j’ai
les questions suivantes:
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Une protestation: Des participants
soutiennent les réfugiés
|
-Pensez-vous que l’Australie devrait accepter davantage de réfugiés ? (Oui- 50%, Non- 50%)
-Pensez-vous que
le gouvernement ne fait pas assez pour aider les réfugiés ? (Oui- 56%,
Non- 44%)
-Pensez-vous que
les demandeurs d’asile qui arrivent en Australie sans papiers devraient avoir
accordés le droit d’asile ? (Oui- 37,5%, Non- 62,5%)
- Croyez-vous que
nos opinions sur les réfugiés sont déterminées par leur représentation dans les
médias ? (Oui- 81%, Non- 19%)
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Ils vivent dans la terreur: Des participants
n’aiment pas les réfugiés
|
Les résultats ont été différenciés par l’âge et le sexe des personnes
interviewées, et la plupart des réponses divisent le public. La moitié des gens
auxquelles j’ai posé les questions ont dit ‘oui’, et l’autre ont dit ‘non’. Un
participant a expliqué ses raisons avec la déclaration «Parce que les réfugiés
ont besoin d’aide, et nous pouvons les aider… C’est bon pour l’humanité ».
Tandis qu’une autre personne a dit « Nous ne pouvons pas gérer l’afflux
actuel ».
Pour la question
finale en ce qui concerne l’effet des médias sur nos opinions, tous les gens
qui ne sont pas d’accord étaient des hommes, avec 81% des participants ont dit
‘Oui’. Une personne qui a répondu avec ‘oui’ a dit « En général, les news
suggèrent que les réfugiés vont mal, donc le public pense que c’est
vrai ». D’autre part, une personne qui ne pense pas que les médias
influencent nos opinons a dit « Les médias informent le public avec les
faits, c’est la responsabilité de chaque individu afin de créer leurs opinions
sur le sujet ». Tous les gens entre 51 ans et 60 ans ne
pensent pas que les demandeurs d’asile qui arrivent en Australie devraient être
d’accord le droit d’asile. Peut-être c’était démontrer les idées et les opinons des personnes de cet âge
en ce qui concerne les réfugiés.
Les résultats
suggèrent qu’il existe une grande quantité d’opinions sur les réfugiés dans
notre communauté, bien que tout le monde croit que c’est un problème qui doit
être abordé.
Les systèmes d’enseignement supérieur en Australie et France
Les systèmes d’enseignement supérieur en Australie et France
Les
systèmes d’enseignement supérieur en
Australie et France sont très différents l’un de l’autre. Une grande différence
entre les deux est le coût de
l’éducation. En France les étudiants ne paient pas pour l’éducation tandis
que en Australie paient et normalement le gouvernement australien subventionne
le coût de l’université comme un prêt auquel les étudiants doivent rembourser
quand ils trouvent un travail à plein temps.
Les structures des systèmes sont différentes
aussi par exemple, il y a une université différente pour chaque domaine d’étude,
par exemple Université, Etude de Santé, Grandes Ecoles et Ecoles Spécialises.
Normalement les étudiants qui vont dans des grandes écoles, lesquelles sont la
meilleur université en la France, deviennent une politique, un professeur ou se
politise de droit mais en Australie ce n’est pas important l’université dans
laquelle on va.
Certainement
il y a des universités australiennes qui ont un rang plus élevé par rapport à
d’autres et on a besoin d’une certaine note sur 100 pour entrer en licence à
l’université. En France, le système d’entrée est légèrement diffèrent comme les
étudiants doivent faire le Baccalauréat pendant l’année finale du lycée affin
de d’être accepté à l’université.
Un
autre point intéressant est que les élevés français vont à l’université pour
plus de trois ans tandis que les élèves souvent finissent après les trois ans
et il semble que les étudiants français étudient en plus que les Australiens!
Un concept
traditionnel que les australiens font est de prendre un ‘Gap Year’ (une année
sabbatique) qui décrit à la base une
interruption temporaire du parcours scolaire, universitaire ou professionnel,
le plus souvent entre le lycée et l'entrée à l'université. A la différence de
ce que suggère le terme anglais, une telle parenthèse ne doit pas
nécessairement durer un an. Cette idée d’un ‘Gap Year’ n’existe pas en
France !
On voit qu’il y a plein des différences entre les deux systèmes d’enseignement
supérieur, quel système préférez-vous ?
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